(Re)voyez la table-ronde sur la santé mentale étudiante organisée par Indésciences, avec Nightline France et le Docteur Audrey Moco-Daijardin

Indésciences, kézaco ?
Membre de la Fédération Nationale des Etudiants en sciences exactes, naturelles et techniques, le média Indésciences a été fondé en 2012 dans l’objectif de combler le manque d’information scientifique destinée aux étudiant·e·s. En 2013 naît le blog du même nom, à la croisée des chemins entre média de vulgarisation et revue scientifique. Si l’association s’adresse en premier lieu aux étudiant·e·s en filières scientifiques, ses articles accessibles et précis peuvent également intéresser tou·te·s les passionné·e·s de science exacte.
Le média s’est peu à peu diversifié, mettant en place en plus des articles écrits différents formats tels que des podcasts, ainsi qu’une veille sur les réseaux sociaux. Il organise enfin des forums afin de favoriser les rencontres entre les étudiant·e·s et les acteur·rice·s scientifiques. L’ensemble de ces formats est géré par des bénévoles, en parallèle de leurs études.
Considérant le bien-être des étudiant·e·s comme primordial, Indésciences s’est associé à Nightline France afin d’organiser une table-ronde sous la forme d’un live Twitch qui a eu lieu le 9 décembre 2020.
Isolement et précarité : le bien-être des étudiant·e·s en 2020
Durant environ 1 h 30, Damien et Arsène, membres d’Indésciences, se sont entretenus avec Florian Tirana, président de Nightline France, et le Dr Audrey Moco-Daijardin, docteure en psychologie.
Plusieurs études parues ces dernières années ont montré des taux d’anxiété plus importants chez les étudiant·e·s que dans la population générale, ainsi qu’une surreprésentation des troubles dépressifs au sein de la communauté étudiante. Partant de ce constat, la discussion du 9 décembre s’est naturellement orientée vers la détresse psychologique des étudiant·e·s, un phénomène qui a émergé bien avant la crise du Covid-19, et qui a largement été abordé en lien avec la pandémie.
Les participant·e·s ont ainsi pu aborder les causes du mal-être étudiant, mais également réfléchir ensemble aux solutions et actions à mettre en place pour mieux accompagner cette population.